En vue de l'exposition du grand maître Hokussai au grand palais, Uniqlo a organisé un concours, ou il s'agissait de revisiter la célèbre Vague de Kanagawa ou le mont Fuji. Comme on le constate j'ai choisi la vague :coeur: . 

En réalité j'ai eu envie de faire ce concours par plaisir, j'aimais déjà beaucoup l'artiste et était curieuse de voir ce que ça donnerait si mes petites mains et mon cerveau nipponisé produirait si je me plongeais dans le projet. 

Le concours a été remporté par une illustratrice de chez RETARD MAGAZINE, avec une interprétation plutôt gastronomique de la vague, va voir !

UNIQLO-GRANDPALAIS

AYIKO

Sara Andreasson est incrédible graphiquement parlant, une fraîcheur pour les yeux et un gros cœur pour elle.

Le site :  Sara Andreasson

Des fois je m'en veux trop de pas mettre mes skills en photoshop au service de nicki, alors il fallait que quelqu'un le fasse. Merci
Pour en voir plus aller faire un tour sur le tumblr de ce gentil monsieur... (NSFW!!) : MANHOOD

L'art c'est beau, l'art c'est frais mais l'art c'est cher. Donc voilà, conclusion de ma visite aux portes ouvertes chez ESAG, École supérieure de design, d’art graphique et d’architecture intérieure et du swag... Non, plus sérieusement, les élèves à ma surprises ne prennent pas de hauts, ils ont beau avoir du beau matos, ils sont là pour se vendre, ils sont là parcequ'ils aiment ce qu'ils font et ça se voit. Je braille par rapport au prix mais mon école n'est pas moins cher (-enfin 11 000 euros la dernière année, on a du mal à le digérer -oui mais le niveau est à la hauteur du prix, regarde ! ), oui d'accord.

#larcébo

Exposition "The future is always now" de Daniel Arsham, que j'aime beaucoup, et encore plus grâce à sa collaboration avec Pharrell Williams (accessoire en vogue en ce moment parait-il) pour son exposition "Girl" que j'ai, malheureusement raté mais bon, vu la visibilité de Pharrell en ce moment ce n'est pas bien grave ! Arsham est un artiste qui me tiens beaucoup à coeur, découvert il y a un an, ce n'est que pendant cette été qu'il décide de revenir montrer ses merveilles à Paris ! Son amitié avec Pharrell se ressent beaucoup dans cette exposition, qui tourne surtout autour de la musique et du temps, il reste épuré et très attaché à l'univers de la destruction. Cependant, même en adorant son réalisme, j'ai trouvé ces œuvres lassant, je l'ai découvert avec sa maîtrise du drapé, j'aurai aimé en voir un peu, ici c'est toujours le même principe, des instruments, des rouilles, on a compris. Eh oh ! On oublie Pharrell et sa puissance commerciale qui plane et on se remet au drapés, s'il te plaît, bisous